Ils demandaient l’annulation du programme tel que publié le 6 février 2025 par l’Education nationale (cf. Le programme d’éducation à « la vie affective, relationnelle, et à la sexualité » publié au Bulletin officiel).
En mars 2025, le Conseil d’Etat avait déjà rejeté le recours en référé porté par ces associations. Elles faisaient valoir la « primauté éducative des parents » et le « principe de neutralité du service public ». La plus haute juridiction administrative n’a pas retenu le caractère d’urgence, elle a alors délibéré sur le fond.
Le Conseil d’Etat met en avant le fait que le code de l’éducation prévoit déjà trois séances d’information et d’éducation à la sexualité depuis la loi du 4 juillet 2001 relative à l’interruption volontaire de grossesse et à la contraception. « Le législateur a ainsi voulu que le service public de l’éducation forme les élèves au respect de l’égale dignité des êtres humains et à la lutte contre les discriminations et contribue à prévenir les atteintes à l’intégrité physique et psychique des personnes », considère-t-il.
Il estime en outre que le contenu du programme est « adapté à chaque niveau scolaire et reprend l’état de la science ou du droit ». A l’éducation à la « vie affective et relationnelle », prévue en maternelle et en élémentaire, s’ajoute plus tard l’« éducation sexuelle » à partir du collège.
Source : www.genethique.org
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Malgré les recours, le programme EVARS sera mis en pkace dès la rentrée prochaine. De nombreux points posent pourtant question : l'adaptation des programmes aux âges et à la maturité des enfants, la banalisation de l'homoparentalité et des pratiques qui en découlent (PMA sans père et GPA), la promotion de l'idéologie du genre et la mise à distance des parents.
Sachons prendre notre part de manière convenable en tant que parents ou grands-parents. Cela fait partie de nos responsabilités éducatives.