La GPA, un droit de l’homme ?

La GPA, un droit de l’homme ?
Publié le
June 20, 2024
La GPA, un droit de l’homme ? - Un nouveau document d’orientation du Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP)[1] suggère que la gestation par autrui (GPA), y compris la « GPA commerciale » (cf. « Il n’y a pas de GPA éthique, c’est un terme marketing »), devrait être considérée comme un élément de la « planification familiale globale », voire comme un droit de l’homme.

Une nouvelle définition de la « planification familiale globale »

Le document propose en effet une nouvelle définition de la « planification familiale globale », à savoir « une approche holistique de la planification et de la formation familiale ». « Elle englobe les services de planification familiale, une variété de méthodes contraceptives, les traitements de fertilité, l’adoption, le placement en famille d’accueil et la maternité de substitution », détaille le rapport.

Pourtant, la maternité de substitution est un « sujet controversé » au niveau international, notamment car elle soulève des inquiétudes quant à l’exploitation des femmes, en particulier des femmes pauvres des pays en développement qui sont engagées comme mères porteuses par des commanditaires de pays riches (cf. Iran, Inde : la GPA pour payer ses factures).

De l’avortement à la GPA ?

Jusque là, quand le FNUAP avait utilisé l’expression « planification familiale globale » dans des publications, y compris dans un document de cadrage de 2023 sur « la planification familiale fondée sur les droits de l’homme », il s’était concentré sur les « services » destinés à limiter ou espacer les naissances. L’agence ne faisait pas mention des techniques de procréation assistée.

Source : www.genethique.org

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